Marion Schrotzenberger poursuit le travail d’écriture à partir de son quotidien et ainsi prolonge la forme autofictionnelle débutée dans « Si Pina m’avait demandé ». Durant 8 mois elle est contrainte d’effectuer des trajets de 700 km à l’aller et au retour chaque jeudi soir dans la nuit, entre ses enfants et son travail.
Un trajet de 7h en voiture,
résumé en 1h de spectacle
Un trajet de nuit
Un chorégraphie de route
Un point de départ – Un point d’arrivée
La voiture. L’espace clos. L’espace clos mobile.
L’autoroute : l’espace délimité – le double sens- les lignes de sécurité
(continues et discontinues)
Les arrêts : aires d’autoroute, la machine à café, les toilettes
La rencontre inattendue entre un animal et la conductrice.
Un animal comme un présage
Une rencontre
Se trouver là, au même endroit.